Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 4

  • En prélude à une balade à Peille sur les pas de Léo Ferré

    <iframe width="480" height="360" src="http://www.youtube.com/embed/3ieL7fPOcSE" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

  • nouveau magazine sur le Mercantour

     

    Echos du Mercantour

    C'est un nouveau magazine trimestriel, dédié, comme son nom l'indique au Mercantour, considéré comme un territoire et pas seulement comme la zone du Parc national du Mercantour (PNM). Belle édition sur papier glacé, couleur évidemment, mise en page aérée et beaux documents photos, au prix de 4, 5 euros, ce qui n'est pas déraisonnable.

    N1P18.jpg
    On y trouve des échos de la vie locale des villages des vallées qui intéresseront d'abord les résidents plus que les touristes ou les randonneurs du dimanche venus du littoral. Mais ces informations permettent quand même de toucher du doigt les problématiques et les solutions mises en œuvre par les habitants et leurs élus. A cette lecture, on se promènera donc moins « innocent » et plus concerné par la vie en montagne et ses difficultés.

    Des dossiers abordent des sujets transversaux. Dans ce premier numéro on lira « Quel service postal en zone de montagne ? » agitant la question de la fermeture des bureaux de poste ou «  le chemin de fer de Provence » et son nouvel essor ou encore « le Parc (PNM) a 30 ans ! âge de la maturité ? »

    Des rubriques loisirs : randonnées, fêtes et évènements, bonnes adresses sont complétées et précisées par le site web :

    www.echos-mercantour.fr

    car le rythme de parution de la revue ne permet pas de coller à l'actualité.

    Enfin la focale est mise dans chaque numéro sur un village. Le gros plan du  N°1 était sur Peyresq et son incroyable destin.

    Une initiative dont on partage volontiers la déclaration d'intention exprimée dans l'édito du rédacteur en chef Pierre Durieux «  on peut certes se contenter d'une incursion rapide en montagne et jouir de la beauté naturelle du site, on peut aussi se plonger dans l'incroyable richesse du territoire et revenir grandi d'avoir compris ce qui fait l'attachement viscéral de la population locale pour ce bout de terre âprement défendu ».